COLIMYCINE 1 500 000 UI, comprimé, boîte de 50
Retiré du marché le : 19/05/2011
Dernière révision : 23/02/2005
Taux de TVA : 2.1%
Laboratoire exploitant : SANOFI AVENTIS FRANCE
- En complément de la réhydratation, traitement de la diarrhée aiguë présumée d'origine bactérienne en l'absence de suspicion de phénomènes invasifs (altération de l'état général, fièvre, signes toxi-infectieux...).
L'importance de la réhydratation par soluté de réhydratation orale ou par voie intraveineuse doit être adaptée en fonction de l'intensité de la diarrhée, de l'âge et des particularités du patient (maladies associées,...).
- Décontamination intestinale sélective lors des aplasies médullaires.
Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l'utilisation appropriée des antibactériens.
L'importance de la réhydratation par soluté de réhydratation orale ou par voie intraveineuse doit être adaptée en fonction de l'intensité de la diarrhée, de l'âge et des particularités du patient (maladies associées,...).
- Décontamination intestinale sélective lors des aplasies médullaires.
Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l'utilisation appropriée des antibactériens.
CONTRE-INDIQUE :
Ce médicament ne doit jamais être utilisé en cas :
- d'hypersensibilité à la colistine, au colistiméthate sodique ou à des produits de la famille des polymyxines,
- de myasthénie,
- d'hypersensibilité ou d'intolérance au gluten, en raison de la présence d'amidon de blé (gluten).
En raison de la présence de saccharose, ce médicament est contre-indiqué en cas d'intolérance au fructose, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en sucrase-isomaltase.
En raison de la présence de lactose, ce médicament est contre-indiqué en cas de galactosémie congénitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en lactase.
DECONSEILLE :
- Allaitement : compte tenu de l'immaturité digestive du nouveau-né et du risque de néphrotoxicité, la prescription de ce médicament par voie orale ou parentérale n'est pas recommandée en cas d'allaitement.
- Associations déconseillées : aminosides (voie parentérale).
Ce médicament ne doit jamais être utilisé en cas :
- d'hypersensibilité à la colistine, au colistiméthate sodique ou à des produits de la famille des polymyxines,
- de myasthénie,
- d'hypersensibilité ou d'intolérance au gluten, en raison de la présence d'amidon de blé (gluten).
En raison de la présence de saccharose, ce médicament est contre-indiqué en cas d'intolérance au fructose, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en sucrase-isomaltase.
En raison de la présence de lactose, ce médicament est contre-indiqué en cas de galactosémie congénitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en lactase.
DECONSEILLE :
- Allaitement : compte tenu de l'immaturité digestive du nouveau-né et du risque de néphrotoxicité, la prescription de ce médicament par voie orale ou parentérale n'est pas recommandée en cas d'allaitement.
- Associations déconseillées : aminosides (voie parentérale).
MISES EN GARDE :
Réservé à l'adulte et l'enfant de plus de 18 kg (soit environ 6 ans).
- Ce médicament ne doit généralement pas être utilisé en cas d'association avec les aminosides (voie parentérale) (voir section interactions).
- En cas de diarrhée aiguë, si après deux jours de traitement la diarrhée persiste, la conduite à tenir doit être réévaluée et la nécessité d'une réhydratation par soluté de réhydratation orale ou par voie IV devra être envisagée.
- La réhydratation peut être l'élément essentiel du traitement des diarrhées aiguës de l'enfant.
Elle devra être systématiquement envisagée.
La prévention ou le traitement de la déshydratation se fera par soluté de réhydratation orale ou par voie intraveineuse.
Il est recommandé d'utiliser les solutés prévus à cet effet et de respecter les modalités de reconstitution et d'utilisation.
. La concentration en Na+ devra être comprise entre 30 et 60 mmol/L, les solutés à moindre teneur en sodium (30 mmol/L) étant réservés aux déshydratations peu sévères.
. Un apport en chlore et en potassium est nécessaire afin de corriger les pertes digestives.
. La concentration recommandée en glucose se situe entre 74 et 110 mmol/L.
. L'adjonction de protéines hydrolysées ou d'acides aminés ne semble pas améliorer la réhydratation ni l'état nutritionnel.
Il est indispensable de proposer à l'enfant de boire très souvent, tous les 1/4 d'heure par exemple.
A titre indicatif, le volume proposé de soluté de réhydratation orale doit être équivalent au poids perdu soit 50 à 100 ml/kg pour une déshydratation de 5 à 10% du poids du corps.
En cas de diarrhée sévère ou prolongée, de vomissement important ou de refus d'alimentation, une réhydratation par voie intraveineuse devra être envisagée.
- En cas de diarrhée infectieuse avec des manifestations cliniques suggérant un phénomène invasif, recourir à des antibactériens à bonne diffusion systémique.
- Un traitement prolongé ne se justifie pas dans le cadre de la diarrhée aiguë.
- En raison de la présence de saccharose, ce médicament est contre-indiqué en cas d'intolérance au fructose, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en sucrase-isomaltase. Devant une diarrhée chez l'enfant, il convient d'envisager l'éventualité d'un déficit en saccharase avant de prescrire un médicament contenant du saccharose.
- En raison de la présence de lactose, ce médicament est contre-indiqué en cas de galactosémie congénitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en lactase.
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Pour l'enfant :
. En cas de prescription d'une réhydratation par soluté de réhydratation, les modalités d'utilisation ainsi que le mode de reconstitution devront être clairement et précisément expliqués.
. En l'absence de nécessité de prescrire une telle réhydratation, il est néanmoins nécessaire de clairement expliquer la nécessité de :
. réhydrater l'enfant par des boissons abondantes, salées ou sucrées, afin de compenser les pertes de liquide dues à la diarrhée (la ration quotidienne moyenne en eau est de 2 litres),
. maintenir l'alimentation le temps de la diarrhée,
. en excluant certains apports et particulièrement les crudités, les fruits, les légumes verts, les plats épicés, ainsi que les aliments ou boissons glacés.
. en privilégiant les viandes grillées, le riz.
. La suppression du lait et des laitages devra être envisagée au cas par cas.
- Malgré un faible pourcentage de résorption sanguine, la neurotoxicité et la néphrotoxicité des polymyxines imposent de limiter la durée du traitement et d'éviter l'administration de colistine en cas d'insuffisance rénale sévère ou d'altération de la muqueuse digestive.
Les ralentisseurs de transit favoriseraient une plus grande absorption du médicament.
- Néphrotoxicité :
La colistine est éliminée exclusivement par voie rénale et est néphrotoxique.
Elle n'est pas dialysable par hémodialyse.
Bien que les concentrations plasmatiques de colistine obtenues après administration orale soient très faibles chez les sujets aux fonctions rénales normales, ce médicament est à utiliser avec précaution chez les patients en insuffisance rénale en évaluant le bénéfice/risque du traitement pour chaque patient.
Chez ces patients, il convient d'utiliser la dose efficace la plus faible, de surveiller l'apparition d'éventuelles paresthésies péribuccales et de contrôler les fonctions rénales.
En cas de besoin, il peut être utile de mesurer la concentration plasmatique de colistine afin de mieux adapter la posologie.
En cas de traitement prolongé ou de traitement concomitant par des médicaments néphrotoxiques, les mêmes surveillances sont à mettre en oeuvre (voir section interactions).
- Grossesse : il est préférable, par mesure de précaution, de ne pas utiliser la colistine par voie orale au cours de la grossesse. En effet, bien que les données animales ne mettent pas en évidence d'effet malformatif ou foetotoxique, les données cliniques sont insuffisantes.
- Associations nécessitant une précaution d'emploi : curarisants.
Réservé à l'adulte et l'enfant de plus de 18 kg (soit environ 6 ans).
- Ce médicament ne doit généralement pas être utilisé en cas d'association avec les aminosides (voie parentérale) (voir section interactions).
- En cas de diarrhée aiguë, si après deux jours de traitement la diarrhée persiste, la conduite à tenir doit être réévaluée et la nécessité d'une réhydratation par soluté de réhydratation orale ou par voie IV devra être envisagée.
- La réhydratation peut être l'élément essentiel du traitement des diarrhées aiguës de l'enfant.
Elle devra être systématiquement envisagée.
La prévention ou le traitement de la déshydratation se fera par soluté de réhydratation orale ou par voie intraveineuse.
Il est recommandé d'utiliser les solutés prévus à cet effet et de respecter les modalités de reconstitution et d'utilisation.
. La concentration en Na+ devra être comprise entre 30 et 60 mmol/L, les solutés à moindre teneur en sodium (30 mmol/L) étant réservés aux déshydratations peu sévères.
. Un apport en chlore et en potassium est nécessaire afin de corriger les pertes digestives.
. La concentration recommandée en glucose se situe entre 74 et 110 mmol/L.
. L'adjonction de protéines hydrolysées ou d'acides aminés ne semble pas améliorer la réhydratation ni l'état nutritionnel.
Il est indispensable de proposer à l'enfant de boire très souvent, tous les 1/4 d'heure par exemple.
A titre indicatif, le volume proposé de soluté de réhydratation orale doit être équivalent au poids perdu soit 50 à 100 ml/kg pour une déshydratation de 5 à 10% du poids du corps.
En cas de diarrhée sévère ou prolongée, de vomissement important ou de refus d'alimentation, une réhydratation par voie intraveineuse devra être envisagée.
- En cas de diarrhée infectieuse avec des manifestations cliniques suggérant un phénomène invasif, recourir à des antibactériens à bonne diffusion systémique.
- Un traitement prolongé ne se justifie pas dans le cadre de la diarrhée aiguë.
- En raison de la présence de saccharose, ce médicament est contre-indiqué en cas d'intolérance au fructose, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en sucrase-isomaltase. Devant une diarrhée chez l'enfant, il convient d'envisager l'éventualité d'un déficit en saccharase avant de prescrire un médicament contenant du saccharose.
- En raison de la présence de lactose, ce médicament est contre-indiqué en cas de galactosémie congénitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en lactase.
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Pour l'enfant :
. En cas de prescription d'une réhydratation par soluté de réhydratation, les modalités d'utilisation ainsi que le mode de reconstitution devront être clairement et précisément expliqués.
. En l'absence de nécessité de prescrire une telle réhydratation, il est néanmoins nécessaire de clairement expliquer la nécessité de :
. réhydrater l'enfant par des boissons abondantes, salées ou sucrées, afin de compenser les pertes de liquide dues à la diarrhée (la ration quotidienne moyenne en eau est de 2 litres),
. maintenir l'alimentation le temps de la diarrhée,
. en excluant certains apports et particulièrement les crudités, les fruits, les légumes verts, les plats épicés, ainsi que les aliments ou boissons glacés.
. en privilégiant les viandes grillées, le riz.
. La suppression du lait et des laitages devra être envisagée au cas par cas.
- Malgré un faible pourcentage de résorption sanguine, la neurotoxicité et la néphrotoxicité des polymyxines imposent de limiter la durée du traitement et d'éviter l'administration de colistine en cas d'insuffisance rénale sévère ou d'altération de la muqueuse digestive.
Les ralentisseurs de transit favoriseraient une plus grande absorption du médicament.
- Néphrotoxicité :
La colistine est éliminée exclusivement par voie rénale et est néphrotoxique.
Elle n'est pas dialysable par hémodialyse.
Bien que les concentrations plasmatiques de colistine obtenues après administration orale soient très faibles chez les sujets aux fonctions rénales normales, ce médicament est à utiliser avec précaution chez les patients en insuffisance rénale en évaluant le bénéfice/risque du traitement pour chaque patient.
Chez ces patients, il convient d'utiliser la dose efficace la plus faible, de surveiller l'apparition d'éventuelles paresthésies péribuccales et de contrôler les fonctions rénales.
En cas de besoin, il peut être utile de mesurer la concentration plasmatique de colistine afin de mieux adapter la posologie.
En cas de traitement prolongé ou de traitement concomitant par des médicaments néphrotoxiques, les mêmes surveillances sont à mettre en oeuvre (voir section interactions).
- Grossesse : il est préférable, par mesure de précaution, de ne pas utiliser la colistine par voie orale au cours de la grossesse. En effet, bien que les données animales ne mettent pas en évidence d'effet malformatif ou foetotoxique, les données cliniques sont insuffisantes.
- Associations nécessitant une précaution d'emploi : curarisants.
- Manifestations cutanées : rares réactions cutanées.
- Manifestations digestives : nausées, vomissements, diarrhée.
- Manifestations infectieuses : infections systémiques graves dues à la sélection de souches multirésistantes chez les sujets en repos digestif.
- En cas d'insuffisance rénale ou en cas d'administration de colistine à doses très élevées :
. insuffisance rénale,
. troubles neuropsychiques : paresthésies péribuccales et des extrémités, désorientation temporospatiale, syndrome confusionnel. En cas d'anesthésie récente ou d'association avec des agents curarisants, risque de bloc neuromusculaire et notamment de paralysie respiratoire.
- Manifestations digestives : nausées, vomissements, diarrhée.
- Manifestations infectieuses : infections systémiques graves dues à la sélection de souches multirésistantes chez les sujets en repos digestif.
- En cas d'insuffisance rénale ou en cas d'administration de colistine à doses très élevées :
. insuffisance rénale,
. troubles neuropsychiques : paresthésies péribuccales et des extrémités, désorientation temporospatiale, syndrome confusionnel. En cas d'anesthésie récente ou d'association avec des agents curarisants, risque de bloc neuromusculaire et notamment de paralysie respiratoire.
Grossesse :
Il est préférable, par mesure de précaution, de ne pas utiliser la colistine par voie orale au cours de la grossesse. En effet, bien que les données animales ne mettent pas en évidence d'effet malformatif ou foetotoxique, les données cliniques sont insuffisantes.
Allaitement :
Compte tenu de l'immaturité digestive du nouveau-né et du risque de néphrotoxicité, la prescription de ce médicament par voie orale ou parentérale n'est pas recommandée en cas d'allaitement.
Il est préférable, par mesure de précaution, de ne pas utiliser la colistine par voie orale au cours de la grossesse. En effet, bien que les données animales ne mettent pas en évidence d'effet malformatif ou foetotoxique, les données cliniques sont insuffisantes.
Allaitement :
Compte tenu de l'immaturité digestive du nouveau-né et du risque de néphrotoxicité, la prescription de ce médicament par voie orale ou parentérale n'est pas recommandée en cas d'allaitement.
ASSOCIATIONS DECONSEILLEES :
aminosides (voie parentérale) : addition des effets néphrotoxiques. A n'utiliser que sous surveillance stricte et avec une justification bactériologique.
ASSOCIATIONS NECESSITANT UNE PRECAUTION D'EMPLOI :
Curarisants : potentialisation des curares lorsque l'antibiotique est administré avant, pendant ou après l'agent curarisant. Surveiller le degré de curarisation en fin d'anesthésie.
PROBLEMES PARTICULIERS DU DESEQUILIBRE DE L'INR :
De nombreux cas d'augmentation de l'activité des anticoagulants oraux ont été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte infectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patient apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitement dans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant, certaines classes d'antibiotiques sont davantage impliquées : il s'agit notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certaines céphalosporines.
aminosides (voie parentérale) : addition des effets néphrotoxiques. A n'utiliser que sous surveillance stricte et avec une justification bactériologique.
ASSOCIATIONS NECESSITANT UNE PRECAUTION D'EMPLOI :
Curarisants : potentialisation des curares lorsque l'antibiotique est administré avant, pendant ou après l'agent curarisant. Surveiller le degré de curarisation en fin d'anesthésie.
PROBLEMES PARTICULIERS DU DESEQUILIBRE DE L'INR :
De nombreux cas d'augmentation de l'activité des anticoagulants oraux ont été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte infectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patient apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitement dans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant, certaines classes d'antibiotiques sont davantage impliquées : il s'agit notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certaines céphalosporines.
Posologie :
Réservé à l'adulte et l'enfant de plus de 18 kg (soit environ 6 ans).
- Diarrhées aiguës :
. Chez l'enfant de plus de 6 ans : la posologie moyenne est de 250000 UI/kg/jour, soit un comprimé de 1500000 UI par 6 kg et par jour en 3 ou 4 prises.
A titre indicatif :
. de 18 à 24 kg : 1 comprimé trois fois par jour,
. au-delà de 24 kg : 1 comprimé quatre fois par jour.
. Chez l'adulte : 100000 à 150000 UI/kg/jour, soit un comprimé par 10 kg et par jour, en 3 ou 4 prises.
. Le traitement ne doit pas dépasser 7 jours.
- Décontamination intestinale :
Chez l'adulte : 1 comprimé dosé à 1500000 UI 4 à 6 fois par jour, éventuellement en association avec d'autres antibiotiques.
Mode d'administration :
Voie orale.
Les comprimés peuvent être avalés ou dilués dans de l'eau en raison de leur solubilité.
Réservé à l'adulte et l'enfant de plus de 18 kg (soit environ 6 ans).
- Diarrhées aiguës :
. Chez l'enfant de plus de 6 ans : la posologie moyenne est de 250000 UI/kg/jour, soit un comprimé de 1500000 UI par 6 kg et par jour en 3 ou 4 prises.
A titre indicatif :
. de 18 à 24 kg : 1 comprimé trois fois par jour,
. au-delà de 24 kg : 1 comprimé quatre fois par jour.
. Chez l'adulte : 100000 à 150000 UI/kg/jour, soit un comprimé par 10 kg et par jour, en 3 ou 4 prises.
. Le traitement ne doit pas dépasser 7 jours.
- Décontamination intestinale :
Chez l'adulte : 1 comprimé dosé à 1500000 UI 4 à 6 fois par jour, éventuellement en association avec d'autres antibiotiques.
Mode d'administration :
Voie orale.
Les comprimés peuvent être avalés ou dilués dans de l'eau en raison de leur solubilité.
Durée de conservation :
5 ans.
5 ans.
Sans objet.
- Le surdosage peut provoquer des apnées, une faiblesse musculaire et une insuffisance rénale. Il n'existe pas d'antidote spécifique.
- La prise en charge du surdosage repose sur le traitement symptomatique et des mesures prévues pour augmenter l'élimination de la colistine tel que la diurèse osmotique à l'aide de mannitol. La colistine n'est pas dialysable.
- La prise en charge du surdosage repose sur le traitement symptomatique et des mesures prévues pour augmenter l'élimination de la colistine tel que la diurèse osmotique à l'aide de mannitol. La colistine n'est pas dialysable.
Classe pharmacothérapeutique : ANTIBIOTIQUES - ANTI-INFECTIEUX INTESTINAUX.
Code ATC : A07AA10.
La colistine est un antibiotique polypeptidique de la famille des polymyxines, du groupe des polymyxines E.
SPECTRE D'ACTIVITE ANTIBACTERIENNE :
Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :
S < = 2 mg/L et R > 2 mg/L.
La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'une orientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienne à cet antibiotique.
Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue (> 10%) (valeurs extrêmes) pour une espèce bactérienne, elle est indiquée ci-dessous :
ESPECES SENSIBLES :
Aérobies à Gram négatif :
- Acinetobacter.
- Aeromonas.
- Alcaligenes.
- Citrobacter freundii.
- Citrobacter koseri.
- Enterobacter.
- Escherichia coli.
- Klebsiella.
- Moraxella.
- Pseudomonas aeruginosa.
- Salmonella.
- Shigella.
- Stenotrophomonas maltophilia (0-30%).
ESPECES RESISTANTES :
- Aérobies à Gram positif :
Cocci et bacilles.
- Aérobies à Gram négatif :
. Branhamella catarrhalis.
. Brucella.
. Burkholderia cepacia.
. Burkholderia pseudomallei.
. Campylobacter.
. Chryseobacterium meningosepticum.
. Legionella.
. Morganella.
. Neisseria.
. Proteus.
. Providencia.
. Serratia.
. Vibrio cholerae El Tor.
- Anaérobies :
Cocci et bacilles.
- Autres :
Mycobactéries.
Code ATC : A07AA10.
La colistine est un antibiotique polypeptidique de la famille des polymyxines, du groupe des polymyxines E.
SPECTRE D'ACTIVITE ANTIBACTERIENNE :
Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :
S < = 2 mg/L et R > 2 mg/L.
La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'une orientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienne à cet antibiotique.
Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue (> 10%) (valeurs extrêmes) pour une espèce bactérienne, elle est indiquée ci-dessous :
ESPECES SENSIBLES :
Aérobies à Gram négatif :
- Acinetobacter.
- Aeromonas.
- Alcaligenes.
- Citrobacter freundii.
- Citrobacter koseri.
- Enterobacter.
- Escherichia coli.
- Klebsiella.
- Moraxella.
- Pseudomonas aeruginosa.
- Salmonella.
- Shigella.
- Stenotrophomonas maltophilia (0-30%).
ESPECES RESISTANTES :
- Aérobies à Gram positif :
Cocci et bacilles.
- Aérobies à Gram négatif :
. Branhamella catarrhalis.
. Brucella.
. Burkholderia cepacia.
. Burkholderia pseudomallei.
. Campylobacter.
. Chryseobacterium meningosepticum.
. Legionella.
. Morganella.
. Neisseria.
. Proteus.
. Providencia.
. Serratia.
. Vibrio cholerae El Tor.
- Anaérobies :
Cocci et bacilles.
- Autres :
Mycobactéries.
La colistine, administrée par voie orale, n'est que faiblement absorbée par la muqueuse intestinale normale (environ 0,5%).
La colistine reste donc dans la lumière du tube digestif et s'élimine sous forme non transformée avec les selles.
La colistine reste donc dans la lumière du tube digestif et s'élimine sous forme non transformée avec les selles.
L'administration par voie orale génère un faible passage systémique du produit. Or après administration IV de colistiméthate sodique, une neurotoxicité, effet dose-dépendant, caractérisée par des étourdissements, une confusion ou des troubles visuels, a été rapportée. Si ces effets surviennent, il convient de ne pas conduire de véhicule ou d'utiliser des machines.
Sans objet.
Sans objet.
Liste I.
Comprimé rond plat blanc gravé COLIMYCINE 1500.
50 comprimés sous plaquettes thermoformées (PVC/Aluminium).